lundi 28 mars 2011

Olga Poliakoff



A force de traduire des documents techniques sur l'utilisation des fonds européens ou la construction de centrales hydrauliques, j'avais oublié le monde parallèle dans lequel peut me plonger une traduction.

Depuis deux jours, je vis dans un monde magique de paillettes, de danse et de poésie. Je ne connaissais rien de cette danseuse classique décadente qui vient de mourir.

Maintenant, c'est comme si elle avait été mon amie.

2 commentaires:

Sylla a dit…

Zut, quand on s'est vues, j'ai oublié de te demander qu'est-ce qui t'a fait croiser la vie d'Olga Poliakoff

Rosana a dit…

@Sylla : Olga P. est morte récemment et ma soeur connaît une réalisatrice qui a fait un reportage et qui devait le présenter à un festival. Pour le présenter, il fallait des sous titres en anglais et en français. Ma soeur m'a envoyé le texte du reportage et j'ai passé deux soirées à le traduire. Normalement, je devrais recevoir un un dvd, je te le montrerai. biz