Eric, un de mes collègues, passe aux yeux de tous pour un parfait abruti. J’avoue qu’il y met vraiment du sien et il n’est pas toujours facile de le défendre. Mais je le fais quand même avec conviction, parce qu’un jour il a été gentil avec moi.
Personnellement, je préfère un abruti gentil qui ne se la pète pas que les autres abrutis qui se la pètent. (ça y est, je suis contaminée par le syndrome de ma boîte qui consiste à prendre le reste du monde pour un con, mais ce n’est pas le sujet).
Le fait est qu’à force de le percevoir autrement, je trouve qu’Eric devient petit à petit moins abruti.
Ou alors c’est moi qui m’habitue.
4 commentaires:
J'aime bien cette histoire... Elle me parle de regard.... et je trouve que c'est important le regard. Le Dalaï Lama n'est pas loin .... ;)
Je suis contente que cette histoire te plaise Sylla, à jeudi prochain alors !
Il ne va pas aimer ça, Éric, se faire traiter d'abruti, même si c'est un abruti gentil. :-)
@ Joan : je te confirme qu'Eric n'aime pas du tout se sentir comme un abruti.
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