Un coup de fil cet après midi à 17h15 : "Bonjour Rosana, je sais que vous ne travaillez plus dans ce service, mais j'avais rendez-vous il y a trois quart d'heure avec Sophie, votre remplaçante, elle n'est pas là et je n'arrive pas à la joindre, vous savez pourquoi ? Ah la voilà qui arrive toute rouge et échevelée, je vous ai dérangée pour rien, excusez-moi, allez à bientôt j'espère".
Sophie m'a expliqué ensuite qu'elle était au téléphone depuis une heure avec zbb sans oser lui dire qu'elle devait partir pour un rendez-vous.
Zbb va y trouver son compte c'est sûr, parce que moi je lui aurais dit "bon, je te laisse, je dois y aller, je te rappelle demain", et il aurait piqué une crise. N'empêche, je serais arrivée bien coiffée au rendez-vous.
En attendant, depuis que j'ai quitté son service, mes collègues me racontent que zbb est au lit sans pouvoir se lever et en plus ses analyses montrent une infection, mais les médecins ne trouvent pas où. A leur place j'irais chercher du côté du coeur.
Je suis pleine de compassion.
Sophie m'a expliqué ensuite qu'elle était au téléphone depuis une heure avec zbb sans oser lui dire qu'elle devait partir pour un rendez-vous.
Zbb va y trouver son compte c'est sûr, parce que moi je lui aurais dit "bon, je te laisse, je dois y aller, je te rappelle demain", et il aurait piqué une crise. N'empêche, je serais arrivée bien coiffée au rendez-vous.
En attendant, depuis que j'ai quitté son service, mes collègues me racontent que zbb est au lit sans pouvoir se lever et en plus ses analyses montrent une infection, mais les médecins ne trouvent pas où. A leur place j'irais chercher du côté du coeur.
Je suis pleine de compassion.
1 commentaire:
Pauvre sophie, pauvre zbb, t'as vu, je suis plein de compassion moi aussi
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