Carpe Diem, c'est bon à prendre quand tout va bien. Mais quand on a un gros chagrin, c'est bon de se projeter dans le futur parce qu'à coup sûr, dans six mois, il sera moins lourd.
A 50 ans, on sait trier les chagrins :
. ceux qui nous construisent et ceux qui ne servent à rien
. ceux qui laissent vide et ceux qui font déborder
. ceux qu'on garde secrets et ceux que l'on partage
. ceux qu'il faut garder bien au chaud ou plutôt vite oublier
A 20 ans, on ne sait pas encore.
A 50 ans, on sait trier les chagrins :
. ceux qui nous construisent et ceux qui ne servent à rien
. ceux qui laissent vide et ceux qui font déborder
. ceux qu'on garde secrets et ceux que l'on partage
. ceux qu'il faut garder bien au chaud ou plutôt vite oublier
A 20 ans, on ne sait pas encore.
6 commentaires:
Oh là là ! Rosana tu m'épates !
ah bon, pourquoi ?
<3
@anonyme : <3
Et à 20 ans, on n'entend pas quand les 50 ans nous le disent...
@Joan : tu as mille fois raison.
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