Verde que te quiero verde
Federico Garcia Lorca, le gars qui a donné ton nom à la plus vilaine rue de ma ville n'a jamais lu tes poèmes. Pas possible autrement. Aucune chance d'y croiser jamais un colibri et pas la moindre trace de vert. Ca fait mal au coeur.
"Por la rama del laurel
vi dos palomas oscuras :
La una era el sol,
la otra la luna."
4 commentaires:
Même sans comprendre c'est beau !
sylla : je savais bien... c'est de la musique
J'aimerais tellement qu'il y ait des colibris dans ma rue... jolie poésie.
Je passe le plus possible dans cette rue avec ma voiture verte, ça fait au moins un truc de la bonne couleur.
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